En août 1998 paraissait simultanément en français et en allemand un livre appelé dans les deux langues Double. Ce n’était pas un roman, mais un rapport autobiographique où l’auteur racontait comment après avoir été lourdement surveillé par la police politique helvétique, il avait perdu successivement ses emplois et notamment le dernier, responsable informatique à l’hôpital cantonal de Genève.

 

Canevas, 1998

Limmatverlag, 1998 (en allemand)

La Baronata, 2002 (en italien)

Métropolis, 2008


  • Livre stupéfiant, unique dans le parcours d’un écrivain. Le Magazine littéraire
  • Ce texte reprend le genre si fréquenté de l’autobiographie sous un angle radicalement neuf… un hymne à l’écriture Le Monde
  • L’écriture du livre est précise, froide, désincarnée et efficace. Libération
  • Une honnêteté exemplaire. France Culture
  • Une réussite grâce à une langue directe et sans illusion. Stadtkulturmagazin, Cologne
  • D’une informaticien inconnu, la police suisse a fait un écrivain de renom. Falter, Vienne
  • Poussé jusqu’à la satire, un jeu de miroirs particulièrement amusant. StadtRevue
  • On commence à reconnaître Daniel de Roulet comme l’un des auteurs les plus intéressants de Suisse. Die Zeit
  • De Roulet a réussi à écrire le premier roman sur l’affaire des fiches en Suisse. Listen
  • Une plume très pointue. Hessischer Rundfunk
  • Un travail littéraire sur soi-même. TagesZeitung
  • Discret, exact et sans pathos, un rapport sur soi-même fascinant. Neue Luzerner Zeitung
  • Une merveilleuse histoire d’amour et l’histoire d’une génération. Moma
  • Elégant, réfléchi et d’une subtile ironie. CoopZeitung
  • Son talent littéraire…  son honnêteté… un roman extraordinaire. Neue Zürcher Zeitung
  • Un rythme à vous couper le souffle, une forme concise. Tages Anzeiger
  • Une partie de notre mémoire collective. Der Bund.
  • De Roulet, le joueur, n’a pas besoin de se hisser sur la tête des morts Wochenzeitung