
Zoé 2018
Ferdinand Hodler, mort il y a cent ans, n’a été d’abord qu’un peintre helvétique et besogneux. Jusqu’au jour où il a rencontré Valentine Godé-Darel, son modèle, puis la mère de son enfant, puis de nouveau son modèle, mais alitée parce que mourante. A travers plusieurs centaines de toiles et de dessins, Hodler a rendu compte chaque jour de l’avancement de la maladie sur le visage de sa bien-aimée. Un tour de force jamais égalé dans l’histoire de l’art. Guillaume Apollinaire a salué en lui « l’un des plus grands peintres de cette époque ». Avant Giacometti et Tinguely, Hodler est le symbole d’un art d’abord intime puis planétaire.
Présentation vidéo de l’éditeur
Le Temps, Isabelle Rüf
Tribune de Genève, Jean-Michel Olivier
Espace 2, David Collin
Autres échos de presse