Buchet/Chastel, 2011

Hoffmann und Kampe, 2011 (en allemand)

Autonomedia, 2011 (en anglais)

Laertes, 2011 (en espagnol)

Kai-wai, 2011 (en coréen)

denonartean, 2011 (en basque)

Stranieri, 2011 (en italien)

 

Si le dernier livre de Daniel de Roulet n’était qu’un pamphlet de plus contre le recours à l’énergie nucléaire, il ne nous retiendrait guère ; il nous intéresse en revanche en ce qu’il pose des questions, décisives, à la littérature contemporaine. Ça presse, Christian Petr

 

Cette plaquette se déguste par petites lampées, comme du saké dont l’auteur raconte qu’il y a différentes façons de le boire. Le choc entre ces raffinements et la brutalité invisible du nucléaire est ce qui fait le prix de ce livre. Le Monde Magazine, Didier Pourquery

 

L’auteur qui n’a cessé d’interroger les mutations technologiques de son temps ne pouvait qu’interpeller le lecteur sur le drame de Fukushima. Il le fait avec une retenue qui dit autant son inquiétude que son respect pour d’autres modes de pensée. Le Monde, Phillippe-Jean Catinchi.

 

Daniel de Roulet sait bien que sa main tendue ne peut qu’irriter son interlocutrice issue d’un peuple qui a en horreur l’ingérence compatissante. Mais il espère lui faire prendre conscience, et de manière touchante, que lui le militant et elle la victime ont beaucoup à partager. Le Temps, Emmanuel Gehrig

 

Minuscule récit sensible et informé, poétique et technique Médiapart, Dominique Conil