« mais qu’endure le couple 

quand dure le couple ? » 

 

 

 

 

 

 

 

éditions d’autre part, 2017

 

Joli portrait d’un couple ni parfait ni parfait, ni assorti ni modèle, mais qui décide d’affronter un projet commune jusqu’au bout. Jacques Plaine, L’essor de la Loire, 2 novembre 2017

Chaque page est une évocation tendre drôle, complice ou fatiguée. Thierry Raboud, La Liberté 22 avril 2017

Récit de voyage, traversée politique, récit de vie, roman d’amour: de ce cadeau intime Daniel de Roulet a fait un livre attachant. Isabelle Rüf, Le Phare, 20 avril 2017

Petite formules, phrases musicales, pizzicati. Daniel de Roulet trouve un rythme et un ton plan de vie pour ce Terminal terrestre  joué allegro. Eléonore Sulzer, Le Temps, 25 mars 2017

Le Daniel de Roulet que l’on préfère, c’est l’écrivain de plein air. Ses voyages lui inspirent des livres portés par une humeur buissonnière, légers comme son bagage, rapides comme le vent, dont l’écriture s’épure en tendant vers l’effacement auquel le mortel doit se résigner. Partir, c’est aussi s’exercer à disparaître (…) Daniel de Roulet est un virtuose de la litote : en deux ou trois traits, une scène surgit, une atmosphère s’installe. Michel Audétat Le Matin dimanche, 12 mars 2017

Malgré ses confidences, l’auteur maintient une saine distance avec l’intime et confère ainsi une certaine universalité à son propos. Le résultat, qui met en lumière les petits riens qui font que l’on se tolère ou que l’on s’insupporte, sonne juste et se révèle souvent émouvant. Stéphane Babey, Vigousse, 17 mars 2017