Phébus, 2015

N’en doutons pas. Daniel de Roulet a raison. Si tous les lointains sont bleus, ils finiront bien, par déteindre sur notre ici. Décidément, on a beaucoup à gagner en allant avec Daniel de Roulet parcourir les ailleurs. Son livre est une puissante, et rare, invitation à retrouver un bon usage du monde. Europe, Christian Petr.


On ne s’est pas ennuyé une seconde avec Tous les lointains sont bleus. De Dallas à Hanoi, de Managua à Domodossola, le livre joue à saute-continents. Mais il se lit d’un pas de promeneur, au rythme régulier de cette écriture précise veinée d’ironie, qui semble un équivalent littéraire de la « ligne claire. » Michel Audétat, Le Matin Dimanche


Avec sa plume alerte, son sens du storytelling et ses chutes amusantes, l’auteur nous entraîne sans peine dans ses aventures peu conventionnelles. Marianne Grosjean, La Tribune de Genève

 

Un rapport au monde et une réflexion s’affinent, d’une réjouissante alacrité. Jean-Claude Lebrun, L’Humanité

 

 Ses chroniques posent sans relâche un regard alerte, douloureusement aigu parfois, sur ce qui fait l’unicité, ou non, d’une langue, d’une culture, d’un pays et, ultimement, d’un être humain. Avec le recul, sa vision, sans âge, devient universelle. Valérie Lobsiger, Aux arts

 

D’une plume vive et intelligente, cette trentaine de chroniques rendent compte d’une rumeur du monde qui se moque de la mondialisation. Elles racontent comment, à travers les voyages, les pensées vagabondent et la réflexion se forment. Un sentiment nouveau naît quand les lointains se rapprochent. Emmanuel Khérad, France Inter