1975. En haut d’une montagne suisse réputée inaccessible l’hiver, un beau chalet vide s’enflamme dans la nuit. Le l’entendrais, les hélicoptères arrivent trop tard, il n’y a plus de chalet. La police lance une traque internationale, met à prix la tête des terroristes, qu’elle croit venus de l’étranger pour s’en prendre à la résidence d’Axe César Springer le magnat de la presse allemande. 
Trente ans plus tard, l’auteur insoupçonné de cet attentat raconte dans quelles circonstances il a planifié puis entrepris son forfait. Il avait promis ce témoignage amoureux à sa complice mourante. Promesse tenue.

 

  

 

 

Buchet/Chastel 2006

Limmatverlag 2006 (en allemand)

  • Du souvenir d’un moment intense à jamais disparu, Daniel de Roulet tire un beau livre, véritable voyage à rebours propice à la méditation. Daniel Rondeau, L’Express 13 avril 2006 
  • A lire, pour l’émotion que suscitent notamment les pages sur la mort de celle qui ut aimée. Mais aussi pour la lucidité d’un homme qui n’a pas peur d’affronter son passé A L Marianne, 13 mai 2006
  • De Roulet nos offre un récit distancié, plein de tact, frais comme l’amour. Emouvant. Ouest-France, Georges Guitton, 30 avril 2006
  • Le texte laisse la place aux doutes et aux interrogations quand tant d’auteurs qui se remémorent leur jeunesse le font avec les certitudes affermies par l’Histoire et les années passée. Aimé Ancian, Le Magazine littéraire, juin 2006
  • L’hallali contre Daniel de Roulet est terrifiant, à désespérer de la compétence de la critique littéraire helvétique… Un texte très beau et très simple… Une très belle histoire d’amour… Une grande lucidité… Un ton extrêmement juste, l’ambiance de Ramuz… Des dialogues très, très beaux… France Culture, Jeu d’épreuves 15 avril 2006Joseph Macé-Scaron, Clara Dupont-Monod, Alexis Liebart (Marianne), Nelly Kapriélan (Les Inrockuptibles), Alexis Lacroix (Le Figaro)
  • Les 160 pages qui racontent ce fameux dimanche de janvier où il montait skis au pieds avec la femme qu’il aimait jusque vers le chalet honni sont superbes. Simples, justes et belles. Anna Libal, Femina, 12 mars 2006
  • Aujourd’hui, Daniel de Roulet livre non seulement un récit passionnant, mais une réflexion sur les errances d’un engagement politique romantique. Jacques Sterchi, La Liberté, 3 mars 2006
  •  Ce court texte nous fait revivre une époque… C’est aussi une réflexion douce-amère sur le temps qui passe et les amours perdues. Sylvie Tanette, Le Monde, 24 mars 2006
  • Un petit livre tendu, ironique, d’une subtilité condensée… le pur plaisir d’un récit virtuose. Michel Audétat, L’Hebdo, 2 mars 2006
  • Son récit est littéralement bouleversant. Ça m’a foutu les larmes et ce n’est pas mon genre. Christophe Passer, L’Illustré, 8 mars 2006
  • La langue de Daniel de Roulet se déploie simplement, mot après mot, semblable à une course à pied régulière, dont il est l’adepte. Avec humour, parfois dérision, la nuit dans le palace de Gstaad, la montée vers le refuge de l’éditeur, les doutes mi-héroïques mi-tartufe, les disputes entre amants, s’égrènent et s’amoncellent dans une composition sobre et touchante. MD Domaine public 13/2006
  • Dans le feu du souvenir, un roman magnifique.Un texte bouleversant. L’aveu en tire une pureté cristalline et givrée. Philippe Trétriack, Elle, 10 avril 2006